Garrison resta avec Allen six ans, après quoi son contrat prend fin. Todd accusa Garrison pour diffamation à la cour municipale de Baltimore, qui était le lieu d'une intense traite négrière domestique[30]. Close. », qui rapportait les barbaries de l’esclavage : « tortures, cas de kidnappings, etc. - ces deux derniers points correspondant à des déchirures vécues au sein de la Société Anti-Esclavage Américaine[54] - dont Garrison a été président de 1843 à 1865. Les esclaves ne pouvaient évidemment pas, légalement, résister à leurs oppresseurs. Garrison was born in the United States in 1805. Jusqu'à sa mort Garrison continua à promouvoir les droits civiques des femmes. Sued for libel by the owner of a slave ship, he was convicted and sentenced to six months in prison, serving seven weeks. May (en), Edmund Quincy (en), Maria Weston Chapman[57], Henry Clarke Wright (en), et des membres de la Société des Amis[58], et qui faisait suite à une annonce de Garrison dans le Liberator en décembre 1837 : En vertu de cette Déclaration, « les membres de la Société de Non-Résistance feront la promotion du royaume paisible et renonceront à la force; ils s'abstiendront de l'armée, ne serviront pas dans des postes qui exécutent des lois pénales, ne voteront pas pour des représentants dont l'autorité découle de la force physique; ils endureront la souffrance pour l'amour du Christ et témoigneront contre le péché « jusqu'à ce que la droiture et la justice règnent sur la terre » ; ils obéiront à toutes les exigences du gouvernement, sauf celles qu'ils jugent contraires aux commandements de l'Évangile ; ils ne résisteront en aucun cas à l'opération de la loi, mais se soumettront au châtiment qu'ils encourent s'ils désobéissent »[60] - «... Nous ne prêchons pas une doctrine révolutionnaire. (John Greenleaf Whittier avait sollicité Henry Clay avec succès dans ce but, mais leur intervention devint dès lors inutile). Le 1er janvier 1832, Garrison et onze de ses collaborateurs créent la Société Anti-Esclavage de la Nouvelle-Angleterre (New England Anti-Slavery Society (en)) sur le principe de l’émancipation immédiate. Lui et sa mère s'écrivaient régulièrement. Il fréquenta seulement quelque temps l'école de Newburyport[14]. Pendant de longues périodes, William Lloyd était séparé de sa mère, qui vivait dans une autre ville pour travailler, alors qu'elle l'avait confié aux soins d'une tante ou d'amis baptistes, à Newburyport ou à Lynn, avec plusieurs déménagements et retours. (collection Idées reçus) 2010, (Note : dans le chapitre sur les États-Unis). What beliefs did William Lloyd Garrison hold about slavery? burros TEACHER. Il avertit que l'émancipation immédiate est une obligation religieuse, morale et politique pour l'avenir; il soutient que c'est la solution à tous les problèmes actuels; et il explique que tous les faits y tendent. He founded the Liberator and was one of the founders of the American Anti- Slavery Society. Le concept d'abolition immédiate était fondamentalement différent, non seulement des approches gradualistes, mais de ce que David Walker avait prôné dans son pamphlet Walker's Appeal, et qui avait provoqué l'émoi du pays à l'hiver 1829-1830, soit l'insurrection; « une publication des plus imprudentes, » selon Garrison[27]. In order to support the argument that I made in regards to my project, I looked at the research and opinions of other historians. Il adresse « Au Public »: Dépourvu de capital, Garrison et son partenaire d'imprimerie et d'édition, Isaac Knapp (en), effectuaient des travaux de nature mécanique le jour pour le Christian Examiner, ce qui leur fournissait l'accès au matériel typographique la nuit; leur propre travail d'édition se faisaient le soir. The purpose of this paper is to explore Garrison life as a prominent religious figure during the 1800s. Beaucoup d’abolitionnistes, collaborateurs et lecteurs ne comprenaient pas le lien entre la non-résistance et l’abolition de l’esclavage. NOTE: Il y avait six sœurs Weston, nées entre 1806 et 1825 (Maria, Caroline, Anne, Debora, Lucia, and Emma), les quatre premières, qui ont été des institutrices à un moment où l'autre de leur vie, ont fondé la. Mais pour Garrison et ses collaborateurs, « [la question n’était] pas que le devoir de tout abolitionniste est de voter, mais que le devoir de tous ceux qui votent est d’être abolitionniste »[100]; et voter avait un caractère auxiliaire et subordonné, et devait être laissé « au choix de chaque abolitionniste selon sa conscience »[101] Comme les chefs des deux partis existants (Whig et Démocrate) n’étaient pas abolitionnistes, Birney et plusieurs membres de la Société Anti-Esclavage Américaine ont formé un nouveau parti, le « Parti de la Liberté » (Liberty Party), qui croyait que « l’esclavage disparaîtrait graduellement une fois qu’il serait mis en quarantaine par le Congrès », et qui, « de sa formation en 1840 à sa dissolution en 1848, ne luttait pas tant contre l’esclavage que contre tout contact [du gouvernement] fédéral avec l’institution de l’esclavage ». Je ne peux pas consentir à devenir un élève de cette école sanguinaire »[26]. Some other "radical" and "extreme" beliefs of Garrison were that Anti-Slavery Society and generally anti-slavery movements should have nothing to do with political parties, women should be allowed to be members in Anti-slavery Society and that the U.S Constitution was a document that promoted and preserved slavery. Il fait preuve de zèle et de conviction personnelle en s'opposant à des traditions (ex. asked Jul 16, 2016 in History by uRanus. L’œuvre de Garrison est rapidement tombée dans l'oubli, même si de son vivant Abraham Lincoln[5], Victor Hugo[6] et John Stuart Mill[7] en ont fait l'éloge, Henry David Thoreau s'en est inspiré, et que, par la suite, Léon Tolstoï la situait en lien direct avec sa philosophie chrétienne, qu'elle donnait une impulsion à certains des premiers mouvements pour les droits des femmes, et que Martin Luther King en a été non seulement le continuateur mais en fait l'imitateur, en joignant l'agitation politique à la « vision » d'un idéal moral. En décembre 1833, Garrison et ses associés fondent la Société Anti-Esclavage Américaine ("American Anti-Slavery Society") à Philadelphie[44] La convention inaugurale, réunissant 63 délégués (dont 21 quakers) provenant de dix États, le chargea de rédiger la déclaration de foi; celle-ci réclamait « l'émancipation immédiate, sans expatriation, »[45] et désapprouvait la démarche de la Société de Colonisation Américaine[11]. pour établir à Bennington (Vermont) un Journal (Journal of the Times[21]), qui supporterait la réélection de John Quincy Adams à la présidence des États-Unis. La position des "abolitionnistes garrisoniens" dans ces trois débats a connus un point tournant en 1839-1840, et a été résumée par Lydia Maria Child dans un texte du Liberator qui n'est « pas de peu de valeur, » dit l'éditeur Garrison[55]. La dernière modification de cette page a été faite le 1 février 2021 à 11:51. À la demande de Quincy à cet effet, Garrison choisit pour la nouvelle association « un nom qui serait en lui-même une profession de foi, » Non-Resistance, « qui s’applique aussi bien aux rapports individuels que nationaux », - le « mot Paix... n’évoquant pas tout ce que les Évangiles renferment vraiment dans ce terme »[70]. It took a lifetime of work. Seule une poignée de Quakers militaient contre l'esclavage, dont Elliott Cresson et Benjamin Lundy; ce dernier était un réformateur itinérant qui avait fait le tour des États-Unis en amenant plusieurs propriétaires à libérer volontairement leurs esclaves, qu'il accompagnait alors parfois personnellement à Haïti. Jared_Deleon. William Lloyd Garrison (December 10, 1805 – May 24, 1879), who signed and printed his name Wm. (une citation d'Ésaïe, LVIII, 6). APUSH Chapter 16 vocab. À cette occasion, Garrison avait invoqué le respect dû à leur conscience, soutenu qu’il ne fallait pas opposer un « bâillon » à leur « sens du devoir », et demandé : « n’est-il pas tout aussi approprié de discuter des moyens que du but de notre organisation ? Anthony et Stanton soutenaient que ce 14e amendement cautionnerait l'absence de droit de vote des femmes, mais ce n'était pas le cas. Et il choisit de s'installer à Boston, près de Bunker Hill, « lieu de naissance de la liberté »[23]. Hi, I'm William Lloyd Garrison. Cependant, pour Garrison et son mouvement, la question des droits des femmes était secondaire, car leur situation était bien moins grave que celle des esclaves. L'agent de Todd témoigna que le capitaine Brown était « humain », et le procureur qualifia de « fanatique » Garrison, qui fut condamné en mai 1830 à payer 100 dollars, incluant les frais, pour « diffamation grave et délictuelle »[31]. William Lloyd Garrison and his Projects. New York; W. W. Norton & Company, 1998, L'illustration de John J. Johnson, Stanhope press (London 1824), est une Courtoisie de, NOTE: en anglais « a sleepy place »; Garrison, William Lloyd. During lecture Prof. Fahs discussed William Lloyd Garrison and his strong beliefs. En fait, la plupart de ses membres n’encourageaient pas la manumission des esclaves mais voulaient seulement en diminuer le nombre dans le pays. Il ne fait donc pas allusion à tout ce qui peut être fait sans provoquer cet esprit, et qui est en accord avec l’esprit de bienveillance désintéressée...»[90] Néanmoins, un des plus anciens associés de Garrison, Arthur Tappan, qui s'était déclaré pour l’abolition non violente de l’esclavage[91], « retourna sa copie [du premier numéro du Non-Resistant] parce qu’il « refusait de contribuer à propager des sentiments anti-gouvernements »[92] Et en fait, seulement « un petit nombre de personnes s’en tenaient avec Garrison à la doctrine biblique [exprimée par la Déclaration], et non toute la confession des Quakers, comme on aurait pu s’y attendre, ni une large partie des abolitionnistes... ils hésitaient à suivre les conséquences de la doctrine... à devenir des hommes "point de gouvernement, " comme on appelait les non-résistants »[93]. William Garrison wanted everyone to understand the immorality of slavery and inequality. fédéralistes et "républicains" (anti-fédéralistes)), Massachusetts General Colored Association, American and Foreign Anti-Slavery-Society, William Lloyd Garrison on non-resistance : together with a personal sketch by his daughter Fanny Garrison Villard and a tribute by Leo Tolstoy, Attentat de l'église baptiste de la 16e rue, Marche sur Washington pour l'emploi et la liberté, Église épiscopale méthodiste africaine de Sion, National Association for the Advancement of Colored People, Student Nonviolent Coordinating Committee, Liste des batailles navales de la guerre de Sécession, Chemins de fer confédérés dans la guerre de Sécession, Tactiques et stratégies ferroviaires dans la guerre de Sécession, Organisation sanitaire durant la guerre de Sécession, Artillerie de campagne durant la Guerre de Sécession, Official Records of the War of the Rebellion, Élection présidentielle de 1861 dans les États confédérés, Élection présidentielle américaine de 1864, Liste des espions de la guerre de Sécession, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=William_Lloyd_Garrison&oldid=179454989, Personnalité du christianisme et de la non-violence, Naissance dans le comté d'Essex (Massachusetts), Personnalité liée au Massachusetts durant la guerre de Sécession, Article contenant un appel à traduction en anglais, Article avec une section vide ou incomplète, Article de Wikipédia avec notice d'autorité, Portail:Guerre de Sécession/Articles liés, Portail:Époque contemporaine/Articles liés, Portail:Biographie/Articles liés/Culture et arts, Portail:Biographie/Articles liés/Politique, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. vocab for a flat. Le 17 mai 1838, une foule ameutée par la rumeur d'un mariage interracial de Angelina Emily Grimké est intervenue dans une assemblée publique mixte d'anti-esclavagistes en mettant le feu au Pennsylvania Hall de Philadelphie (en), qui avait été inauguré quelques jours auparavant et consacré à l'abolitionnisme[40]. Le document fondateur de Garrison à la Société Anti-Esclavage Américaine reconnaissait le fait que le Congrès n'avait aucun pouvoir légal, au niveau du gouvernement fédéral, pour interférer avec l'esclavage dans les États souverains, bien qu'il pût l'abolir dans la capitale et l'interdire dans les territoires ; mais sa mention en italique, dans la convention nationale actuelle, suggère que Garrison était prêt à défier le consensus pour que la loi fondamentale du pays soit changée[49]. Garrison changed view quickly discovered that the abolitionist cause required a stronger organization. Par ailleurs, comme toute réforme sociale, le droit de vote des femmes exigeait selon lui une préparation préalable de l'opinion publique, ce qui n'avait pas encore été fait. (À REVOIR, AVEC RÉFÉRENCES) Garrison réagit typiquement aux évènements en lien avec l'existence (et la perpétuation) de l'esclavage (discours de leaders religieux et politiques, nouvelles publications, lois, débats et résultats électoraux, etc.) Il soutint également à plusieurs reprises des projets qui visaient à améliorer l'éducation que recevaient les Afro-Américains dans le Nord du pays. Or ce parti, « prêt à des compromis dans sa quête d’influence politique », « minimisait [ouvertement] l’élan moral inspirant l’abolitionnisme »; et le parti qui lui succéda, le « Parti du sol Libre » (Free Soil Party)[102]. Garrison n'avait pas de fonction administrative; il était un « agent sur le terrain ». Garrison perdit tout intérêt pour le débat entre fédéralistes et "républicains" (anti-fédéralistes)). modifier - modifier le code - modifier Wikidata. William Lloyd Garrison Was Far Ahead of His Time Garrison is a highly influential figure in the abolitionism and women's rights movements. ainsi qu'un pamphlet sur « les maux de la guerre révolutionnaire » (1839)[80],[81]. He believed that the the Anti-Slavery Society should not align itself with any political party. Garrison was a pacifist and wanted peaceful actions but did not put down slave rebellions. For Garrison and many other abolitionists, slavery was the greatest moral evil facing the nation. Il est désigné pour se rendre en Angleterre en 1833 dans le but d'y contrecarrer l'influence de la Société de Colonisation Américaine. Après avoir été ouvrier à Boston, il y travailla en 1827 au National Philanthropist[20], le premier journal jamais fondé pour promouvoir l’abstinence de la consommation d'alcool. William Lloyd Garrison believed slavery to be a moral wrong. He did more than anybody else to make slavery a burning issue. … Garrison, Wendell Phillips & Francis Jackson Garrison. Letters used: 89; 104 Transcriptions: 89; 104 Bibliography Footnotes Over the course of his lifetime, Frederick Douglass was both exposed to and influenced by a wide variety of people. 19 terms. AMERICAN EXPERIENCE's "The Abolitionists" premieres on PBS January 8, 2013 at 9/8c. Ils vendirent quelques abonnements, ce qui les encouragea. NOTE: Fondée en 1834 par douze femmes, dont quatre des sœurs Weston, Maria, Caroline, Anne et Deborah, la, NOTE: Pour obtenir la page de cette lithographie de 1838 sur le site de Library Company of Philadelphia. Mais Newburyport connu un grand déclin économique à cause de l'embargo de 1807, Abijah se retrouva sans emploi, devint intempérant et abandonna sa famille en 1808[10]; « On ne sait pas s'il est mort sur terre ou en mer »[11]. C'est pourquoi les aspects importants de son combat ont été, 1) faire connaitre la doctrine de non-résistance chrétienne, 2) inculquer l'esprit de réforme sans exclure personne, et donc sans compter sur la politique de parti, et 3) faire admettre les droits de conscience, de parole et d'action des femmes éclairées[53]. La mère et la grand-mère Palmer de William Lloyd Garrison étaient des dissidentes religieuses par rapport à leurs parents respectivement anglicans et de l'église congrégationnaliste; elles avaient adopté la foi baptiste évangélique de prédicateurs itinérants, Henry Alline (1748-1784) et d'autres après lui, qui prêchaient la renaissance dans la communauté aimante du Christ[9]. Quel est le but des appels de troupes ? L'ensemble des sociétés abolitionnistes comptaient 200 000 membres en 1840[48]. (Mayer, Henry. One such individual was William Lloyd Garrison who lived in the nineteenth century and was famous for his views on abolitionism or the end to human slavery. - ce qui amena Anne (Warren) Weston à dire à Garrison « nous devons éviter de donner à ces pasteurs qui sont traîtres à la cause de l’esclave, l’opportunité [de nous] affaiblir, et de s’attirer l’attention du public en alléguant que nous soutenons l’abolition du gouvernement plutôt que celui de l’esclavage...»[94]. Mais Garrison et ses collègues en vinrent à juger sévèrement l'incohérence manifestée par cette Société, qui mettait uniquement l'emphase sur le problème des guerres entre nations[67]. Gauvin, Gilles. Il fut ainsi aux côtés de Simeon Jocelyn (en) lorsque celui-ci essaya, sans succès, d'ouvrir un college pour les Noirs à proximité de l'Université Yale. La caractère « immédiat » de l'abolition revendiquée par Garrison est typique de son raisonnement et de toute son œuvre, dont « l'idée dominante » est la suivante : L'urgence exprimée par le terme « abolition immédiate » est donc liée au caractère absolu de l'exigence morale. Les centaines de spectateurs de la "bonne société" de Boston sont restés, malgré quelques sursauts, dans leur apathie, en ce jour traditionnellement consacré aux activités missionnaires de l'American Colonization Society, qui soutenait officiellement l'idée d'une émancipation graduelle des esclaves. Étant lui-même éditeur, son journal le Practical Christian (qui publia un Catéchisme non-résistant en 1844[84]) fusionna avec le Non-Resistant en 1848 pour produire le Practical and Non-Resistant Christian[82]. « Le sujet de la paix perpétuelle était [très] peu d’actualité, »[65] De nombreuses Sociétés pour la promotion de la paix avaient vu le jour après les guerres napoléoniennes et la guerre anglo-américaine, sous l'impulsion de Il fut apprenti chez un fabricant de chaussures, employé chez un scieur de bois, et passa l'année 1815 avec sa mère à Baltimore, où il était garçon de course[11]. L'arrière-grand-père « Lloyd » de Garrison, John Lawless, a reçu des terres de la couronne anglaise pour avoir combattu avec le Général Wolfe dans la Bataille des Plaines d'Abraham à Québec en 1759 et, lors de la traversée avec sa femme Caroline en 1770, leur fille Mary (Lawless) a connu le gallois Andrew Lloyd, apprenti sur le navire Owen ; de l'union de ces derniers est née en 1776 Frances Maria Lloyd, la mère de Garrison, à Campobello Island dans la Baie de Passamaquoddy. En fait d'énergie déployée pour faire la pédagogie populaire de la non-résistance il faut aussi compter d'innombrables conférences et lettres personnelles. La Société de non-Résistance expliqua clairement le sens de sa proposition en septembre 1839 : « l’abolition de l’esclavage est impliquée dans les doctrines de Non-Résistance, comme l’unité est comprise dans l’agrégat; parce que si un propriétaire d’esclave devenait non-résistant, il ne pourrait plus jamais frapper un esclave, ni le forcer à travailler; ni le réclamer [quand il est parti]; en un mot il ne pourrait plus jamais recourir à la loi de violence d’où provient la relation du maître à l’esclave, et par laquelle elle est continuellement entretenue »[63]. Les efforts du maire de la ville pour empêcher cette destruction ont été vains, alors que les pompiers et les policiers sont restés indifférents. Cependant, « lui et ses collaborateurs n'ont jamais demandé au Congrès d'exercer un pouvoir inconstitutionnel »[50]. 23 terms. Garrison a été « méprisé mais écouté » avant la Guerre de Sécession, et « honoré mais ignoré » durant la période de Reconstruction qui s'en est suivie[2]. Thoreau écrit, dans l'essai connu aujourd'hui sous le nom de. NOTE: Cette manière de présenter les faits correspond bien à celle de l'historien Mayer, qui écrit dans le contexte où « la bataille du Kansas faisait rage » : « Garrison devait se battre, non seulement pour maintenir le standard de la non-résistance... mais pour préserver l'intégrité de la vision abolitionniste dans une période de volatilité politique ». Après l'interruption de la publication pendant plusieurs semaines, Lundy était contraint d'en faire une journal mensuel plutôt qu'hebdomadaire, et d'en réduire le format, pour surmonter ses difficultés sans devenir objet de patronage[35]. Garrison ne comptait que sur des moyens spirituels. Durant la Convention Anti-Esclavage de la Nouvelle-Angleterre, en mai 1838, le droit des femmes de participer et de s’exprimer aux réunions avait fait l’objet de débats, certains abolitionnistes y voyant une volonté de « greffer des pratiques de Quakers », quelque chose de « déshonorant » pour une femme, voire pour les esclaves à affranchir, et une question qui n’avait « aucun rapport » à l’objectif. Il légua 500 dollars à l'organisation menée par Lucy Stone pour la promotion du droit de vote des femmes. Mais Newburyport était un endroit « sans dynamisme, » et l'entreprise échoua[19]. »[98]. ), et engage George Thompson à se rendre aux États-Unis pour y donner des conférences[38]. He also championed temperance, women’s rights, and pacifism. Il conservait une certaine liberté, recevait des visiteurs et écrivit, entre autres à Francis Todd (« j'ai honte de votre conduite..»), des sonnets[32], et un pamphlet relatant les conditions de son procès et de sa détention[33]. Il se chargea de faire la publicité de l'école pour jeunes filles noires que Prudence Crandall parvint à faire vivre pendant 18 mois dans le Connecticut, malgré l'opposition farouche de la population locale. By the late 1830s, William Lloyd Garrison had developed his belief that the U.S. Constitution was proslavery. New England Anti-Slavery Society Convention. In 1832 he helped to establish the New England Anti-Slavery Society. Et de manière générale, « si les gens... font de leur liberté une occasion d’anarchie... ils seront châtiés par les gouvernement suivant leur propre choix... » dit Garrison[62]. Try. En critiquant cette Société de Colonisation, Garrison et ses collaborateurs se sont attiré l'hostilité de beaucoup de personnes, y compris parmi ceux qui étaient, par ailleurs, enclin à partager leurs idées[11]. Not long afterwards, Garrison arrived at what he believed to be the logical corollary of this belief, namely, that abolitionists should call for secession of free states from the Union. Son fonctionnement était souple[46]. Les fils de Garrison, Wendell Phillips et Francis Jackson, ont écrit une biographie exhaustive en quatre volumes de leur célèbre père[118]. Le désaccord des abolitionnistes sur la question du droit des femmes culmina en mai 1840, avec le schisme de leur principale organisation. Le 1er janvier 1831, Garrison lance avec Isaac Knapp (en) le journal hebdomadaire le Liberator[36] dont la devise était: « Notre patrie est le monde, nos compatriotes sont tous les hommes, » avec la ferme résolution de le publier jusqu'à ce que l'esclavage soit aboli. (cela arriva vers 1830). Après un contrat de six mois, il retourna à Boston, où il travaillait dans des imprimeries, comme ouvrier remplaçant ou supplémentaire. « Son idée était de réunir l'influence morale du Nord et la verser par tous les canaux ouverts dans le Sud ». Ainsi, lorsque Lundy sollicita l'assistance de Garrison pour le journal qu'il éditait à Baltimore, le Genius of Universal Emancipation[22], les questions d'émancipation graduelle ou immédiate n'empêchaient pas les deux hommes de travailler ensemble parce que chacun apposait ses initiales sur ses articles[11]. Le premier de tous les objectifs de Garrison était l'abolition de l'esclavage, et il concevait que la reconnaissance du statut de citoyens pour les esclaves nouvellement libérés s'accompagnerait de mesures les concernant spécifiquement pour protéger leurs droits civils, si longtemps tant lésés. Il fut libéré après 49 jours, à la suite du paiement de l'amende par le philanthrope new-yorkais Arthur Tappan[11]. Thomas, in The Liberator: William Lloyd Garrison (Boston, 1963), stressed the formative effects of religion on the reformer's life. Le mouvement de Garrison allait être affaibli par la politique partisane. David Low Dodge (en), Noah Worcester, etc. Erica_Heide. He was also a member of the women's suffrage and the temperance movement ("William Lloyd Garrison | Beliefs, Significance, The Liberator, & Facts | Britannica," 2021). Entre-temps, le Genius emménagea dans la capitale nationale, où il ne voyait pas la nécessité d'un deuxième journal abolitionniste, tout en étant maintenant convaincu que rien ne pouvait être fait dans le Sud si le Nord non-esclavagiste prêtait son influence au maintien de l'esclavage. Garrison, Wendell Phillips & Francis Jackson Garrison (Eds). "William Lloyd Garrison and the United States Constitution: The Political Evolution of an American Radical." (Il aurait fait de même à la Salem Gazette (en)[17],[11]). APUSH Chapter 16. Le grand-père « Garrison », Joseph Garrison, est probablement un descendant d'immigrant qui a fui la persécution des huguenots en France, tandis que sa femme, Mary Palmer, était venue dans la région fertile de Jemseg (Nouveau-Brunswick) (en) avec une centaine d'autres familles originaires de Newbury dans le Massachussets; leur fils Abijah (Garrison) était un marin qui naviguaient sous les drapeaux anglais et américains dans les années 1890, lorsqu'il a connu Frances Maria Lloyd[8]. Intern: Jay Thompson Essay: Toward Douglassonian Abolitionism: The Rift Between Frederick Douglass and William Lloyd Garrison Spring 2002 Faculty Advisor: Professor Robert Westbrook. Garrison, William Lloyd. Au tournant des années 1830, Garrison commença à exprimer son opposition à la Société de Colonisation Américaine, - Créé en 1811, cette Société organisait depuis 1815 une émigration de descendants africains sur la côte ouest de l'Afrique (Sierra Leone, etc. indafrance. hannah_wirth. Le journal bimensuelle le Non-Resistant fut donc créé, à la suggestion de Anne Weston du comité exécutif de la Société, qui avait fait valoir qu’« on ne peut pas examiner le sujet de la non-résistance à fond alors que le Liberator est son seul organe »[75] Les principaux auteurs[76] en furent Edmund Quincy (1808–1877) (en) et Henry G. Chapman (qui décéda en 1842), assistés de Henry Clarke Wright (en) - qui traita de l'incompatibilité entre la guerre et l'enseignement du Christ[77] - et Charles K. Whipple [1808-?] Ainsi, dans le Genius de septembre 1829, Garrisonn rejette la doctrine de l'abolition graduelle comme étant « pernicieuse », et il s'excuse d'avoir eu un sentiment aussi « timide et injuste »[23]. Le dernier numéro du Liberator, publié le 31 décembre 1865, relata la ratification du XIIIe amendement à la Constitution, qui prohibe à jamais l’esclavage aux États-Unis[11]. 57 likes. WILLIAM L. VAN DEBURG; William Lloyd Garrison and the “Pro-Slavery Priesthood”: The Changing Beliefs of An Evangelical Reformer, 1830–1840, Journal of the Ameri William Lloyd Garrison: the story of his life told by his children. Garrison recevait régulièrement des lettres de menace d'assassinat s'il n’arrêtait pas son journal. Pour Garrison, « la réforme anti-esclavage est une entreprise religieuse... et les mesures pour l’accomplir doivent être d’un caractère cohérent, strictement morales »[86],[87]; sa « lutte contre l’esclavage était un combat contre le péché » qui faisait en sorte que « seule une purification du corps politique mènerait à l’abolition [immédiate] de l’esclavage »[88] Il disait: En vue de la publication dans le Liberator, la Société de Non-Résistance a adopté un amendement à la Déclaration (24 sept.) pour rassurer ceux qui hésitaient à l'appuyer, comme Edmund Quincy (en), en invoquant qu'il y a « des choses provenant des gouvernements, ou sanctionnées par eux qui sont innocentes et peuvent être utilisées comme telles » : « Ce document n’envisage et ne renie rien d’autre que l’esprit de la violence, en pensée, en parole, et en acte. Thirty-four years after first publishing The Liberator, Garrison saw the Thirteenth Amendment to the Constitution go into effect, banning slavery forever. William Lloyd Garrison was the greatest publicist for the emancipation of American slaves. YOU MIGHT ALSO LIKE... APUSH The American Pageant 12e Ch 16 The South and… 25 terms. William Lloyd Garrison—"Henceforth, the watchword of every uncompromising abolitionist, of every friend of God and liberty, must be, both in a religious and political sense — 'NO UNION WITH SLAVEHOLDERS'" Tensions began to rise between North and South by the late 1830s over slavery and related issues. William Lloyd Garrison pledged his dedication to a. shipping freed blacks back to Africa.
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